Orwell George.
La ferme des animaux.
Gallimard, DL 2021, 215 p.
(Collection Folio. Classique. Classique).
La ferme des animaux
de George Orwell Gallimard, DL 2021, 215 p. (Collection Folio. Classique. Classique) Il était une fois un pays où les animaux de la ferme en avaient assez de la tyrannie de l'homme. Ils décident de se révolter. C'en est fini de l'asservissement ! Veaux, vaches, cochons prennent le pouvoir, poussent le fermier à quitter les lieux et instaurent l'autogestion. L'animalisme devient la règle : l'humain est banni. Mais l'utopie égalitariste est de courte durée. Les cochons seront-ils les nouveaux maîtres ? « Tous les animaux sont égaux. Mais certains sont plus égaux que d'autres », conclut Orwell, entre pessimisme et lucidité. Paru en 1945, juste avant Mil-neuf-cent quatre vingt quatre, La Ferme des animaux est une impitoyable critique du totalitarisme. La traduction de Jean Queval rend le roman à son atmosphère de fable animalière, de conte de fée doux-amer, d'où émane peu à peu un malaise. Le pouvoir engendre nécessairement l'abus : le rêve d'enfant tourne vite au cauchemar d'adulte. |
Titre : | La ferme des animaux |
Auteurs : | George Orwell, Auteur ; Hervé Le Tellier, Préfacier, etc. ; Jean Queval, Traducteur ; Philippe Jaworski, Éditeur scientifique |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Gallimard, DL 2021 |
Collection : | Collection Folio. Classique, ISSN 1258-0449 |
Sous-collection : | Classique |
ISBN/ISSN : | 978-2-07-294740-7 |
Format : | 215 p. |
Note générale : | Bibliogr. p. 178-185 |
Langues: | Français |
Langues originales: | Anglais |
Résumé : | Il était une fois un pays où les animaux de la ferme en avaient assez de la tyrannie de l'homme. Ils décident de se révolter. C'en est fini de l'asservissement ! Veaux, vaches, cochons prennent le pouvoir, poussent le fermier à quitter les lieux et instaurent l'autogestion. L'animalisme devient la règle : l'humain est banni. Mais l'utopie égalitariste est de courte durée. Les cochons seront-ils les nouveaux maîtres ? « Tous les animaux sont égaux. Mais certains sont plus égaux que d'autres », conclut Orwell, entre pessimisme et lucidité. Paru en 1945, juste avant Mil-neuf-cent quatre vingt quatre, La Ferme des animaux est une impitoyable critique du totalitarisme. La traduction de Jean Queval rend le roman à son atmosphère de fable animalière, de conte de fée doux-amer, d'où émane peu à peu un malaise. Le pouvoir engendre nécessairement l'abus : le rêve d'enfant tourne vite au cauchemar d'adulte. |